Yami Sohko

~ Dossier du Personnage ~

Spoiler:

Physique (4lignes) :
Yami a des cheveux qui se voudraient blond, mais qui tapent plutôt dans le
roux. Ses cheveux lui arrive au bas de la nuque, et peuvent descendre jusqu’au
bas de son front, de façon à lui cacher les yeux. Ses cheveux sont extrêmement
fins, et donc très souples, ce qui les rend faciles à coiffer, bien qu’il ait
généralement la grosse flemme de les coiffer, les laissant alors retomber comme
ils le souhaitent. Ses yeux sont d'un marron pâle, et ont tendance à foncer
quand il à faim. Il mesure 1,88
mètre, et pèse 55 kilogrammes, un
jeune homme bien svelte en somme. 55 kilos, qu’il à durement acquis en prison
grâce à de répétées séances d'abdominaux et de pompes. Heureusement, son corps
est plus ou moins resté le même entre le moment où il est entré en prison et le
moment où il en est sortit. Il porte généralement un T-shirt blanc, avec une
veste noir par-dessus, ainsi qu'un pantalon assorti (par là entendez noir ^^).
Question chaussures, il privilégie les baskets toute blanches. Quand lui prend
l'envie, ou -avant son incarcération- quand il est invité à une réception, il
troque sa tenue habituelle conte un magnifique costume noir, avec une chemise
pourpre, et des chaussures en cuir (noir) faites sur mesure. En même temps, il
a les moyens.

Caractère (4lignes) :
Yami est...changeant. Non, pas dans le sens du schizophrène, mais autant en
société il est le parfait héritier de la richissime famille Sohko, autant quand
il veut, il peut être sadique, détestable et raillant. Plus souvent il est
ironique. Si il s'est fait incarcéré, c'est uniquement par ce qu'il s'embêtait
après la mort de son père et le remariage de sa mère. Il lui arrive aussi
d'être souriant, aimant et agréable, mais seulement avec sa sœur. Comme lui a
dit le confesseur en prison, son âme est noire, sans doute autant que celle du
malin. Cela fit grandement rire Yami, qui lui répondit que de toute façon il ne
croyant en rien, si ce n’est en l’inutilité
de l’homme. Ce que le confesseur avait du mal à comprendre, c'était pourquoi il
avait cambriolé des banques alors qu'il comptait parmi les dix premières
fortunes mondiales.


Histoire (15lignes) :
Histoire (15lignes) :
Dans le froid mois de novembre, la brume recouvre la ville d'Osaka. À travers cette épaisse brume, les lumières percent difficilement. On peut dire qu'il fait nuit uniquement en regardant sa montre, il est vingt heures. Cet amas de lumières qui montent haut dans le ciel, ce n'est autre les chambres du plus grand hôpital de la ville. Vers le milieu de l'hôpital, dans une salle en condition d’asepsie, un homme plutôt petit tiens la main de celle qui semble être sa femme, et qui souffre le martyre, elle est en train d'accoucher. C’est un fils, la fortune Sohko a trouvé un héritier...


~Huit ans plus tard~


*Tap tap, tap tap, tap tap* Un
cheval court. C'est un pur sang anglais, et dessus, on voit le petit garçon
qu'est devenu Yami Sohko. Il s'embête, alors il prétend travailler, mais son vrai corps est en train de faire du cheval. Par contre, le précepteur est
persuadé d'être avec Yami. Mais Yami doit se dépêcher de rentrer, dans un quart d'heure, celui qui est à sa place devra disparaître...Car Yami à un don, il arrive à se téléporter, tout en restant là où il était avant.
C'est étrange de voir plusieurs images en même temps
Il se précipite aux toilettes, où il est rejoint par l'autre lui, qui à peine entrée tombe en cendres dans une lumière verte. C'était moins une. Bon maintenant faut faire le ménage. Han c'est lourd.


~2 ans plus tard~


*WOUI WOUI WOUI WOUI WOUI!*
Putain la police est déjà là...là aussi, et là, et là...Ptin ça craint, j'aurais ptet pas dû les prévenir.
Sans cagoule, Yami est ben train de faire un cambriolage, pour rigoler, il a envoyé la police à treize endroits différents, mais elle est là, devant lui...Enfait, il s'est téléporté 12 fois, et lui ainsi que 12 de ses "corps additionnels" sont partis cambrioler une banque chacun. Quelques jours plus tard, la juge pour enfant lit
les faits d'inculpation.
"Yami Sohko, vous êtes accusé d'avoir
cambriolé treize banques, dans la nuit du 15 au 16 décembre, entre 00:13:04 et 00:13:08, que plaidez vous?"
"Mon client plaide non coupable, comment aurait il put faire autant de cambriolages en si peu de temps?"
"Je plaide coupable. Je demande 5 ans
d'incarcération"
On eut beau faire, Yami refusa tout et fini par obtenir ses années d'incarcération...Après tout, selon sa logique, en partant du fait que son père soit mort empoisonné, et que deux semaines après sa mère se soit remariée, il n'avait rien à faire dans cette grande maison qu'il décida de
laisser à l'abandon. En plus, les majordomes étaient en fait très peu enclins à le servir, et puis en prison, il serait traité comme tout le monde, pour une fois.

~Incarcération~
Yami entra à un pénitencier près du mont Fuji.
Sa cellule était pour le moins lugubre, mais il y était au moins seul.
Durant les deux premières années, il passa son temps à regarder le mont Fuji, avec dans le regard un peu d’amertume.
Puis, au bout de deux ans, il se décida à regarder un peu autour de lui.
Comme très connu, les autres prisonniers le voyaient mal, surtout cette barrique de Giriko.
Giriko, 2.10m, 155 kg, dont environ 140 de muscles ; La terreur des détenus. Les gardiens n’intervenaient pas quand il commençait à frapper un de ses codétenus, ils s’occupaient juste d’empêcher les autres d’intervenir. Une vraie brute enfait. Et il avait pris en grippe Yami des le premier jour de son incarcération. Rien que du bonheur en perspective.
Après deux ans à moisir en regardant le soleil se lever sur le mont Fuji et se coucher sur le mont Fuji, Yami avait enfait totalement oublié son don.
Quand la bande de Giriko vint le chopper pour qu’il soit « confronté » à Babar, c'est-à-dire réduit à l’état de légume, il se demanda comment c’était possible qu’il ne veuille pas s’enfuir. Il trouva la réponse bien rapidement, en voyant la tronche de celui qui était entrain de se faire faire une nouvelle tête par Hippopotamus, et qui souriait sans riposter. Alors pour la première fois, Yami envisagea le fait qu’il exista d’autres personnes ayant des « dons » et que Moby-Dick exerçait une sorte de persuasion sur les gens, qui se laissaient tabasser comme si de rien était.
D’autant que Giriko était incarcéré dans une aile de la prison qui était complètement vide, à l’exception de quelques individus, qui devaient théoriquement rester en cellule sans sortir, ce qui aurait dû être le cas de Giriko…
Donc Yami déduit que la seule possibilité pour que Giriko soit là était qu’il ait exercé une persuasion sur les gardiens, afin que ces derniers le laissent sortir.
Donc quand la barrique en eu finit avec le pauvre homme qui précédait Yami, il se tourna vers ce dernier, et avec un sourire lui dit :
« Tu vas adorer ! »
Et tandis qu’il portait un premier coup, Yami senti toute volonté le quitter. Le coup eu l’effet d’un réveil matin, et se ressaisissant, il décida d’essayer de se téléporter derrière Giriko. Ce dernier ne frappa donc à nouveau Yami, mais un corps additif de ce dernier, qui tomba en cendre juste après avoir été touché.
Le gorille s’interrogeant sur ce qui c’était passé ne vit pas arriver le coude de Yami, qui lui arriva dans l’omoplate. Hurlant, Giriko se tourna, et porta un nouveau coup, qui se solda aussi par un tas de cendres.
La ronde qui les entourait était muette, autant étonnée que de voir Giriko se faire frapper, autant de voir Yami se déplacer à ce qu’ils croyaient être une vitesse surhumaine. Giriko lui aussi était interloqué, il n’avait jamais été question que quelqu’un évite ses coups, surtout avec ce pouvoir qu’il avait d’ôter la volonté.
« Toi aussi t’en as un ? Pouvoir de tapette d’aller vite ! »
Grognait-il en essayant vainement d’attraper Yami. Au bout d’une heure à éviter les coups pour l’un et à en recevoir pour l’autre, aucun des deux ne fatiguait. A force, Yami commençait à sourire, et accéléra la cadence, si bien que Babar reçu à un moment cinq coudes dans le dos en même temps, avant de s’effondrer…
Les gardes arrivèrent, et les emmenèrent, Giriko et Yami, dans l’aile qui semblait être réservée aux personnes ayant des « aptitudes particulières »
Il ne sortit plus de sa cellule que pour faire des tests d’aptitudes, qu’il refusait par principe…
Quand sa peine fut purgée, il fut approché par un homme qui lui proposait d'entrer dans un pensionnat où il lui serait permis d'exploiter son don. Cela promettait d'être amusant, surtout s’il y avait d’autres personnes comme lui...



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