~ Dossier du Personnage ~- Spoiler:
Nom : Tsuyosa
Prénom : Amai
Âge : 15 ans
Orientation sexuel : Hétéro
Groupe : Réfugié
Pouvoir (1seul) : Connais-tu la mort? Non, pas le fantôme noire avec sa faux. Je te parle de la vrai mort, de ta mort. Sais-tu comment tu vas mourir? Moi je le sais, et je peux te le faire voir... te le faire vivre si tu préfères. Autant de fois que tu le désires... Mais je ne connais pas la date de ta mort, ni même l'année. Ferme les yeux, et admire la scène de ta mort comme si nous étions au cinéma. Et désolé, je ne fournis pas le pop corn.
Dossier d'Amai Tsuyosa.
La jeune fille semble posséder le pouvoir de créé des illusions directement dans la tête de ses victimes. Des illusions incroyablement ressemblantes et vibrantes de réalités. Elle semble préférée, et de loin, faire croire que la scène qu,elle montre est la scène de la mort même de sa victime... MAis elle pourrait aussi créé des illusions magnifiques, avec de petites fées dans un chant de fleur...
Transformation animal (Seulement pour les fantômes) : Je suis pas un fantôme. Pas encore, du moins...
Physique (4lignes) : Je suis une vraie petite poupée de porcelaine... qui fait tomber plus d'un agrs dans le panneau. J'ai de longs cheveux blancs bouclés, aussi bouclés que les princesses des films de Walt Disney. Je les coiffes souvent avec des rubans noirs. J'aime bien le contraste du noir et blanc, comme l'ombre sur la neige... Autre trait de poupée de porcelaine, et sûrement un de ceux qui entretient le plus l'illusion de la porcelaine, c'est ma peau très pâle. Blanche. Mais elle ne me donne pas un air maladif. Elle renforce plutôt l'illusion de douce ange, totalement inofensive que je suis. Seul couleur sur mon corps entièrement blanc: mes yeux, d'un rose pâle. Même mes lèvres fines sont quasiment blanche...
Je suis mince, avec de belles formes pouvant rivaliser avec les plus belles Barbies. Pour plusieurs filles, j'ai un corps de rêve, qui fait rêver bien des gars. Mais je ne passe pas mon temps à l'exhiber. Les poupées sont rarement nus (en tout cas celle de porcelaine...). J'ai tendance à porter des robes bouffantes comme les poupées, qui marquent toutefois ma taille fine. Ajouter à ça des gants noirs et de longues bottes noires ou blanches, et vous obtenez un look gothic lolita. Une vraie petite poupée, toute prête à être posé sur une étagère. Je défais tout de suite vos illusions: mon coeur n'est pas celui de la petite poupée fragile et innofensive...
Caractère (4lignes) : Amai Tsuyosa. Un étrange nom tout de même. Et assez représentatif de moi dans un certain sens.
Tsuyosa, mon nom de famille, pourrait se traduire par force. Une qualité qui est de famille. Forte et indépendante, je ne crains rien ni personne. Et je n'ai besoin de personne pour obtenir ce que je veut, suffit de manipuler, de faire des beaux sourire... et on obtient ce que l'on veut! Mais attention, je ne suis pas paresseuse pour autant. J'aime seulement le fait de voir plusieurs personnes se jeter à mes pieds, dans l'espoir de se jeter dans mes bras pour la suite. Car cette force tranquille, se désir de manipuler, de dicter, de faire plier sous ma volonté, je le cache sous mon air de poupée. Mon coeur est entièrement pourris, rongé par le mal. Il y a bien longtemps que j'ai vendu mon âme au diable. Et à la mort. Je suis sadique, cruelle... J'aime voir les autres souffrir. Torturer avec mon pouvoir me donne plus de plaisir que d'entendre un gars me dire: je t'aime. Tous les hommes sont des lâches, des larves. Le premier dont je tomberai amoureuse seras aussi pourri intérieurement que moi, et il devras aimer la souffrance...
Amai, mon prénom. Lui peut se traduire par la faiblesse. Car il faut l'avouer, en apparence, j'ai l'air faible et frêle, fragile... Une petite fille innocente dont il faut la protéger du monde extérieur. Tout ça n'est que mensonge. Je suis assez bonne comédienne, dans mon genre, ne trouvez-vous pas? Rire doucement,jeter des regards timides, verser quelques larmes de temps en temps... En rêvant du jour où je trouverai enfin mon vrai prince charmant: mon prince des ténèbres, ou alors mon dracula...
Histoire (15lignes) :Je suis née au Japon, dans la grande ville de Tokyo. Nul ne sait exactement comment je suis devenue celle que je suis. Une chose certaine, quand j'étais jeune, j'étais la parfaite petite poupée innofensive. On me surnommait d'ailleurs souvent la petite poupée de porcelaine, et j'adorais agir comme tel. POurquoi? simplement parce que mes copines de classes me détestaient, rongées par la jalousie. Et il y avait de quoi être jalouse, puisque j'avais tout pour moi. Des parents riches, uncorps de barbie, un visage de poupée, et tous les gars à mes pieds. Pourtant je voulais plus. Tout ça ne me comblait pas.
Attention, je n'ai jamais été matérialiste pour autant. Mes parents, riches propriétaires japonais, me donnait déjà tout ce que je voulais, autant en jouet, qu'en vêtement, qu'en argent ou en attention. Je suis vraiment une fille chanceuse, selon les dire de tout le monde. Mais même lorsqu'on a tout ce qu'on désire, il nous manqueras toujours quelques choses pour posséder le vrai bonheur. Et aller savoir pourquoi, ce petit quelque chose, je l'ai trouvé dans les sentiments des autres. Mais pas leur joie. Dans leur peur, leur haine, leur jalousie, leur envie, leur souffrance...
Vers les 12 ans, je commence à manipuler pour de vrais les gars qui ne voulaient que mes bonnes faveurs, et sortir avec moi. Je m'amusais littéralement avec eux, jouant avec leurs sentiments comme s'ils n'étaient que des simples jouets.
J'avais 14 ans depuis peu lorsque je découvris mon pouvoir: celui de créé des illusions directement dans l'esprit de celui que j'appelle ma victime. Mes premières illusions étaient flous, pas très réalistes. Avce le temps, et avec l'aide de mes ''esclaves'' masculins, je mis au point des illusions plus réalistes, plus réels. Un vrai travail d'artiste! Je me considère d'ailleurs comme une vrai artiste, et ma récompense, je la reçois en entendant crié mes victimes, les entendant crié de peur, voir même de souffrance. Et oui, si je créé l'ilusion que vous recevez un coup de couteau, pour certain, le cerveau interprètera l'image comme quoi il reçoit un coup pour de vrais, la victime recevras alors la même douleur qu'un véritable coup. À condition que l'image soit extrèment réelle, mais des images de la sortes me fatiguent énormément... Et souvent, je n'ai pas besoin de les utiliser. Car une certaine image me comble entièrement.
La mort. Tout le monde en a peur et la craint. Sauf peut-être les centenaires qui l'attendent. C,est pourquoi je dis que je suis capable de montrer sa propre mort à ma victime, et je lui envoie l'illusion d'une mort particulièrement lente, douloureuse et désagréable, autant à la vue qu'à la simple pensée. La peur et la crainte que ma victime montre à ce moment-là est si ... plaisante!
Vous vous demanderez sûrement pourquoi je suis une réfugiée. Parce que j'en avais assez de faire du mal aux garçons (et aux filles..)? Vous me prenez pourqui? Vous croyez qu'une pomme pourrite peut redeveinr belle et mûre? Mon coeur est belle et bien pourris, n'essayer pas de me racheter. Entout cas, moi je ne le souhaite pas. Parce que j'avais peur qu'on me vende aux autorités? J'aime la peur, oui, mais moi je n'en ressens pas. Les autorités ne me font pas peur du tout. Rien ne peut m'arrêter.
Vous voulez la vrai raison?
Il y a 6 mois, j'ai commis mon premier meurtre. Bon, ok, ce n'est pas moi qui l'est tuée. Je vous conte la scène.
J'avais fait de belles promesses à un gars plutôt sexy qui me faisait la cour depuis un moment. En fait, si son coeur avait été aussi pourris que le mien, je l'aurais sans doute aimé. Mais bon, son coeur pur ne m'empêchait pas de le désirer. Enfin bref, un soir, nous montâmes dans sa chambre. Je sentais sa main moite dans la mienne tellement il était excité et heureux à l'idée de cette première nuit d'amour avec moi. Il était loin de se douter que ce serait la dernière nuit de sa vie. Et qu'il n'y aurait pas d'amour.
À peine sa porte refermé et le verrous tirer, nous nous jetâmes sur son lit, dans les bras l'un de l'autre. Avec un sourire et mon doigts sur ses lèvres, je lui demandai de fermer les yeux. C'est là que je commençai à dessiner mon illusion. Sa peur et sa souffrance me faisait plus plaisir que de passer une nuit dans ses bras, qu'importe le désir que je gardais au fond de mon coeur. Mais sa réaction fut si intense que je ne l'avais pas prévu.
Je maintenais l'illusion depuis peut-être 10 minutes, quand il se levas en criant, fonça sur la fenêtre et se précipita en bas. Sa chambre était au 6 ème d'un bloc appartement. Il ne survécu pas à sa chute.
Heureusement que ses parents étaient absents, je pus, ainsi, me faufiler doucement et rejoindre ma maison ni vu, ni connu. Sa mort ne me faisait ni chaud ni froid. Seul sa souffrance si intense à la fin de sa vie me donna un plaisir immense. Je n'eu aucune difficulté à faire croire à mon entourage qu'il s'était sans doute suicidé après que je lui ai dit que je ne l'aimais pas, mais alors là pas du tout. Je fis comme si sa mort m'attristait et que je me sentais coupable. J'étais véritablement coupable, mais je m'en contrefichait.
L'expérience fut si plaisante que je recommençai à 2 reprises. Puis on commença à me soupconner. Zut. Je réussis à convaincre mes parents de me faire changer d'école, mais je ne me pointai jamais à cette nouvelle école. Je commençai à peine à célébrer ma liberté, peut-être en me dirigeant vers les quartiers sombres de Tokyo faire fortune dans l'industrie du sexe ou de la drogue, quand j'entendis parler du pensionnat de la seconde chance. Celui qui m'en as parlé espérait que ce lycé me ferait changé, et que je redeviendrais la petite poupée de porcelaine innofensive que j'étais dans mon enfance. Mais il ne savait pas à quel point mon coeur pourri ne changerait jamais.
Une chose est certaine, je me rendis dans ce pensionnat. Pourquoi? Parce que parmi ce panier de pome pourrite qui espère peut-être redevenir belle, j'aurai peut-être ma chance de trouver la pomme pourrite qui feras battre mon coeur. Mon prince des ténèbres auxquelles je rêve depuis si longtemps...
Phrase du règlement : D'après Alfred Jarry ~ Votre Mini-Dossier ~Prénom/Pseudo : Maëlle/trop diverses pour tous les écrires... On vas résumer par Miyachi (et tout ce qui s,y rattache, genre Miya)
Âge :16 ans
Comment as-tu découvert ce forum ? : top-sites
Pourquoi y être inscrit ? : Parce que, pour une fois, je tombe sur un forum de qualité... (Je sais, je suis une rpiste intensive qui cherche toujours la meilleurs qualité de rp possible, et qui prend jamais le temps de se relire, aors pardonnez mes fautes d'orthographes^^')
Mer 29 Avr - 3:49
